L'arbitraire prend possession de mon âme, le bon goût, lui, tranquillement, va boire un café pendant l'emprise de terre à terre et je me lance dans dans un monologue à batons rompus en me promettant, cette fois, d'être en accord avec moi même.
Je rappelle à toutes fins utiles la phrase originelle : Partir, c'est mourir un peu. [article]
Résultats. Les meilleures dictorsions du 12ème game sont :
Moisir, c'est sentir un peu. Pourrir, c'est sentir beaucoup
Maigrir, c'est mourir un peu. Périr, c'est mourir beaucoup,
Jouir, c'est jaillir un peu
Délire, c'est écrire en ce lieu
Blanchir, c'est vieillir un peu
Crevé ? Faut changer de pneu !
Sourire, c'est mentir au mieux.
Mourir, c'est partir. Et pas qu'un peu...
Cabillaud, c'est morue un peu.
Sourir, c'est en rire un peu.
Partir, c'est jouir au pieu.
Décrépir, c'est finir en gueux !
Relire, c'est vital dans ce jeu.
Croupir, c'est finir trop vieux.
Le vol à la tire, déclenche l'ire, sérieux.
Ça tire ? Le lifting, un peu...
Pâtir c'est pourrir un peu : Subir c'est se résigner à s'effacer.
Se repentir, c'est dire au mieux,
les soupirs, les colères, les adieux
Avant de mourir, pour rire un peu
...A la barbe de Dieu...
Je profite de l'occasion qui m'est offerte pour remercier cette dernière d'avoir offert sur son blog un article à ce petit jeu. Merci Ninon !