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Ne fixe pas d'un mauvais oeil Celui qui braille l'extrême humeur Scrute le coeur plus que l'orgueuil Parfois l'outrance n'est que pudeur
Un coup de pied quelque part partie charnue ou fourmilière dissipe le vent et le brouillard réchauffe l'envie, oubli d'hier
Tout se paye à l'échec Si ta carte perd la course Quand l'orange vire à sec Tout liquide par à l'ours
Coulée de lave renversant ma masure, Brutalité d'une nature irrascible... Coulée de larmes déversant mes blessures, Coeur alité fêlure de l'intangible... Tristan
La nuit est tombée et le jour s'en est allé sans se retourner Le jour ne tombe jamais, il se lève et brille sans se retourner L'aube et l'aurore, complices, nient les blessures et indifférent, sans se retourner. En absence de témoin, l'accident se produit,...
Sur la plage abandonnée, le petit chien dodelinait poussant rouleau délavé et revue de l'an passé Son dernier mouvement de tête à la griffe qui rompt la glace Ne changera pas, c'est bête, son euthanasie en casse
Déjeuner sur l'herbe sous un saule fleuri Simple beurre-jambon assis sur ma veste La nature est superbe sans souiller le tapis Les bagnoles s'en vont, et les débris restent
Par la fenêtre d'un hôtel s'invitent les lumières de la ville Seul à la veille de Noël Il participe, sa larme brille.
Que neige en tendu Engelures en hiver Feuille dure entends-tu Tombe comme les congères
Que vos rêves s'envolent au gré de vos hélices Que vos envies se plient au moindre de vos caprices Que vos proches s'éclatent en bouquet d'artifice Mes voeux vous accompagnent, bonne année 2010